Boulimique ? 10 astuces pour lutter lors des fêtes
Les fêtes de fin d'année font écho à la convivialité et la gourmandise... Malheureusement, tout le monde ne porte pas cette période dans son coeur, notamment les personnes qui souffrent de troubles du comportement alimentaire (TCA), comme la boulimie. Une maladie dans laquelle les personnes sont en lutte constante avec des pulsions alimentaires qu'elles tentent de réfréner. Mais à Noël ou le 31, face à l'orgie de mets, il peut parfois être compliqué de se retenir. Voici 10 conseils pour être plus fort que la maladie.
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© Adobe Stock, Pixel-Shot 1/10Parler de ses angoisses avant les fêtes
Si vous avez des angoisses à l'approche des repas de fêtes, il est important de mettre des mots dessus, même si ce n'est pas toujours évident. Confiez-vous à un de vos proches en qui vous avez confiance ou à un ami.
Mathilde Dandeu, Webedia
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© Adobe Stock, fizkes 2/10Demander de s'impliquer dans le choix du menu
Si les repas vous angoissent, n'hésitez pas à demander de participer à leur élaboration. Ainsi, vous pourrez vous projeter plus sereinement, et le soir du réveillon vous aurez des repères pour ne pas vous sentir à l'écart.
Mathilde Dandeu, Webedia
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© Adobe Stock, Syda Productions 3/10Parler d'autres choses que de votre maladie
Souvent lorsqu'une personne est malade, on a tendance à ne parler que de ça, pour savoir si tout va bien. De plus, cela peut vous mener à ne penser qu'au repas. Pour éviter d'en être obnubilé, changez de conversation et parlez de ce qui vous passionne comme les films, les livres, les voyages, le sport...
Mathilde Dandeu, Webedia
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© Adobe Stock, Krakenimages.com 4/10Éviter les moments stressants
Les pulsions boulimiques se déclenchent en général lors de situations de stress. Dès que vous sentez la pression monter face à certaines personnes de votre famille ou à l'arrivée du repas, prenez un petit temps pour vous en vous isolant quelques minutes avant de revenir plus serein.
Mathilde Dandeu, Webedia
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© Adobe Stock, Iryna Melnyk 5/10Ne pas rester seul dans la cuisine
Les petits fours, la dinde, les bûches... À Noël, la cuisine déborde d'aliments bien gourmands et très tentants pour les personnes qui souffrent de boulimie. Pour éviter de vous jeter dessus, ne restez pas seule dans cette pièce de la maison, qui se révèle pour vous diabolique.
Mathilde Dandeu, Webedia
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© Adobe Stock, ulza 6/10Apprendre à respirer
Si vous sentez une crise de boulimie arriver, prenez le temps de respirer. Une bonne respiration permet de se recentrer sur l'essentiel et diminuer l'afflux qui monte. Une technique qui n'arrêtera pas la crise, mais qui peut limiter son impact.
Mathilde Dandeu, Webedia
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© Adobe Stock, Syda Productions 7/10Profiter de ces moments en famille pour réinstaurer des repas
Les crises de boulimie remplacent parfois les repas et peuvent bouleverser le rythme alimentaire, sans savoir quand votre appétit est présent et quand vous êtes rassasié. Vous pouvez donc profiter des fêtes pour être entouré et réinstaurer des repas de façon régulière.
Mathilde Dandeu, Webedia
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© Adobe Stock, deagreez 8/10Prendre le temps de bien déguster les aliments
Quand on est boulimique, on ne savoure pas vraiment les aliments. On ingurgite tant que l'on peut sans vraiment faire attention à ce que l'on mange. Lors des fêtes de fin d'année, concentrez-vous et prenez le temps d'apprécier ce que vous avez en bouche pour retrouver le plaisir de manger.
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© Adobe Stock, Impact Photography 9/10Voir les fêtes comme un défi alimentaire
S'il est compliqué d'être face à tous ces aliments, et que les pulsions peuvent se faire ressentir, ne le voyez pas comme un moment négatif. Au contraire, si vous arrivez à passer les fêtes en arrivant à vous contrôler, voyez ça comme un super défi et soyez fier de vous.
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© Adobe Stock, DC Studio 10/10Écouter les signaux de faim et de satiété
Vous avez envie de vous resservir plusieurs fois ou de retourner dans le réfrigérateur une fois le repas terminé ? Raisonnez-vous et surtout questionnez-vous : est-ce une crise qui arrive ou avez-vous vraiment faim ? Une fois la réponse, si c'est une crise, n'ayez pas honte d'en parler à un de vos proches pour penser à autre chose, le temps que ça passe.
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