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10 signes qui peuvent cacher un traumatisme non résolu

Après un traumatisme, il est important de prendre le temps de se reconstruire. Pour cela, chacun a sa propre manière : il y a ceux et celles qui auront besoin d'une thérapie, ceux et celles qui auront besoin de se plonger dans une passion, ceux et celles qui auront besoin d'être entourés de leurs proches... Parfois, on recommence à vivre, on sourit à nouveau à la vie et pourtant la blessure est toujours là. Voici 10 signes qui peuvent cacher un traumatisme non résolu.

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    Ne pas savoir gérer un problème

    Dans la vie, tout le monde a des petits soucis à gérer. Si une personne lambda va gérer ses petits tracas en prenant du recul sur la situation pour mieux l'analyser, une personne qui souffre d'un traumatisme non résolu peut vite s'emporter. Au lieu d'inspecter le souci calmement, elle agit de manière impulsive ou au contraire va l'éviter.

    Mathilde Dandeu, Webedia

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    Être toujours en hypervigilance

    Vous êtes toujours sur le qui-vive ? C'est l'un des symptômes les plus récurrents d'un traumatisme non résolu. Vous pouvez vous sentir sens cesse en danger et avoir ce besoin d'être toujours en alerte en observant le monde qui vous entoure.

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    Souffrir de troubles alimentaires

    Les troubles alimentaires ne viennent pas toujours du fait que l'on se trouve trop grosse, trop maigre... Les TCA sont parfois bien plus profonds et peuvent être à l'origine d'un traumatisme enfoui. Beaucoup de personnes qui ont subi des abus sexuels dans l'enfance auraient un risque plus élevé de souffrir de boulimie, d'anorexie, etc.

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    Faire face à des maladies psychosomatiques

    Du jour au lendemain vous pouvez ressentir des symptômes que vous n'avez jamais eus. Beaucoup peuvent se lancer dans une batterie d'examens pour en connaître l'origine qui n'est parfois qu'un simple mal-être à cause d'un traumatisme... Du jour au lendemain vous pouvez donc avoir des allergies, des migraines, des douleurs thoraciques, une fatigue persistante, des altérations digestives, des douleurs musculo-squelettique, une hypertension artérielle...

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    Ressentir de la honte

    Après un événement traumatique comme par exemple un viol, beaucoup de victimes ressentent de la honte. Après des mois de thérapie, on peut penser s'en être débarrassé, mais parfois celle-ci persiste. La honte fait donc ressurgir un sentiment d'impuissance ou même celui de se sentir responsable de ce qu'il s'est passé. Si cette honte devient trop présente et pesante, il est important d'en parler.

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    Une colère très présente

    Si vous êtes sens cesse en colère contre le monde entier, il est peut-être temps de se poser des questions quant à votre véritable état. La colère peut prouver que vous souffrez toujours de votre traumatisme et que c'est la seule manière pour vous de l'évacuer. Malheureusement, cela peut affecter sur le long terme vos relations sociales.

    Mathilde Dandeu, Webedia

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    Des insomnies à répétition

    Des cauchemars à répétition, des angoisses nocturnes, des attaques de panique... Tous ces symptômes peuvent être le signe que vos traumas sont toujours ancrés. Cela reflète un état de reviviscence de la personne et le traumatisme refait surface même en plein sommeil. Une situation qui peut dans le temps devenir insupportable, poussant même la personne à ne plus vouloir s'endormir.

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    Adopter un comportement dangereux

    Après un traumatisme, on a besoin de nouvelles expériences, de nouveaux challenges, sauf que certains peuvent s'avérer dangereux. Ainsi, certaines personnes vont s'autodétruire avec des comportements dangereux, comme faire du sport de manière très excessive sans jour de repos en se dépassant toujours plus, avoir de nombreuses relations sexuelles sans forcément bien se protéger... Des comportements inquiétants qu'il est important de prendre en compte.

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    Une augmentation de la consommation d'alcool*

    Vous avez cette sensation de vous sentir bien et vous cherchez toutes les occasions pour faire la fête et boire* ? Des facteurs qui ne trompent pas et prouvent que vous n'êtes pas totalement guéri. De plus, si votre consommation devient trop importante, cela peut impacter votre travail ou d'autres responsabilités quotidiennes. *L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. À consommer avec modération.

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    L'évitement

    Après un traumatisme, votre cerveau peu se mettre en "mode défense ". En ce sens, vous allez involontairement éviter tout ce qui peut vous faire penser à l'événement lié à votre traumatisme, comme : ne plus pratiquer certaines activités, ne plus parler à certains de vos amis, ne plus écouter les chansons que vous adoriez, ne plus vous rendre dans un lieu...

    Mathilde Dandeu, Webedia

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