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Jean-Pierre Pernaut évoque les accusations contre PPDA : "J'ai été très choqué"

©Christophe Clovis, BestImage - Jean-Pierre Pernaut et Nathalie Marquay lors du gala de charité au profit de l'association "Les Bonnes fées" à l'hôtel d'Evreux, Place Vendôme à Paris, le 20 mars 2017.

Le 2 mars 2021, dans Les Grandes Gueules sur RMC, Jean-Pierre Pernaut s'est exprimé pour la première fois sur les accusations de viols portées à l'encontre de Patrick Poivre d'Arvor. Il a alors défendu son ancien confrère et regretté des "témoignages mensongers".

Le 18 février dernier, Le Parisien révélait que le journaliste Patrick Poivre d'Arvor était visé par une enquête pour viols aggravés initiée par Florence Porcel, pour des faits qui se seraient déroulés en 2004 et 2009 alors qu'il travaillait à TF1. Très vite, d'autres témoignages d'anciens collaborateurs, relayant des comportements déplacés de la part de l'ex-présentateur du 20 Heures, sont parus dans la presse. Alors que PPDA nie les faits, Jean-Pierre Pernaut vient de lui apporter son soutien.

"L'ascenseur, ce n'était pas avec PPDA"

"J'ai été très choqué de ce qui est sorti dans la presse, c'est lamentable ce genre d'affaires !", a lancé, dans Les Grandes Gueules, celui qui a été remplacé par Marie-Sophie Lacarrau à la tête du JT de 13 Heures. Il y a deux plaignants, on verra après qui est la victime. Pour l'instant on ne peut rien dire d'autre." Selon lui, cette rumeur affirmant qu'il était déconseillé aux jeunes femmes journalistes de prendre l'ascenseur en même temps que Patrick Poivre d'Arvor est "un mensonge total". "Le Parisien cite des journalistes de TF1, il n'y en a plus qui ont connu cette époque, ou pratiquement pas (...) L'ascenseur, ce n'était pas avec PPDA. C'était avec un autre, c'était avec un homme politique", a-t-il précisé.

Pour Jean-Pierre Pernaut, PPDA était un "dragueur", mais pas un prédateur. "Son bureau était au milieu de la rédaction. S'il s'était passé quelque chose, on l'aurait su, a-t-il affirmé. Et je peux vous dire que les témoignages cités dans Le Parisien, j'aimerais connaître les noms des personnes qui ont témoigné, car ces témoignages sont mensongers."

publié le 3 mars, Émilie Nougué, Jellyfish France

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