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Victoria Beckham : ce caprice lors de ses déplacements mode

©Splash News, Abaca - La créatrice Victoria Beckham lors de son défilé automne-hiver 2020-2021, à Londres, le 16 février 2020.

Il semblerait que l'ex-Spice Girl désormais créatrice de mode, Victoria Beckham, ait besoin du soutien de sa famille... Et ce, depuis toujours. Explications.

Aperçue à de nombreuses reprises au premier rang des défilés de Victoria Beckham, la famille de la créatrice semble lui apporter un grand soutien. Il semblerait même que le clan Beckham - composé de l'ex-Spice Girl et son mari depuis 1999, David Beckham, ainsi que leurs enfants, Brooklyn, Romeo, Cruz et Harper - soit inséparable. À en croire les révélations de l'ex-président de Condé Nast (groupe d'édition de magazines comme Vogue, Vanity Fair ou encore GQ) Nicholas Coleridge - aujourd'hui président du Victoria & Albert Museum de Londres -, cela viendrait plus d'un caprice de star qui ne connaît pas "l'intimité" et aime avoir "toute l'attention". En effet, Victoria Beckham aurait, depuis toujours, souhaité être entourée de sa tribu, même les membres éloignés.

Ils "étaient tous là".

"Il fut un temps où je dirigeais le British Fashion Council et Victoria Beckham était au zénith de sa carrière", commence-t-il par raconter dans le podcast SheerLuxe du 9 février 2021 consacré au monde des magazines. "Nous avons toujours rêvé d'avoir Victoria Beckham", poursuit Nicholas Coleridge, mais quand "elle est enfin venue, elle a toujours insisté pour amener toute sa famille". "Nous l'invitions donc et nous recevions un message disant que Victoria voudrait venir, mais qu'elle voudrait amener sa soeur Louise, le partenaire de sa soeur Louise, sa mère et son père, et le frère de son père, et ils voulaient tous être sur la table du haut", dit-il. Cette fameuse table est alors devenue LA "table de la famille Beckham". Il précise encore sur le ton de la plaisanterie : "Il y a une période de ma vie où j'étais toujours assis à côté de membres éloignés de la famille Beckham, qui étaient tous là, il n'y avait personne qui ne l'était pas."

publié le 18 février, Pauline Jacmart, Jellyfish France

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