Olivia Wilde : son étrange théorie sur les hommes et le rouge à lèvres
Glamour, le rouge à lèvres est très prisé ! Peu importe de quelle couleur on le choisit, il sublime la bouche et permet d'obtenir un joli make-up en soirée, mais pas que ! Il se porte également la journée, associée à une mise en beauté naturelle. Si vous le pensez séduisant et attractif pour attirer ces messieurs, ce n'est toutefois pas la théorie avancée par Olivia Wilde. Fiancée à Jason Sudeikis, l'actrice américaine a, en effet, révélé au magazine People que son compagnon est loin d'être un pro-rouge lipstick péchu et trop voyant. L'Américain de 40 ans n'apprécie pas que sa moitié en porte.
Une théorie qu'Olivia Wilde n'hésite pas à étendre à l'ensemble de la gent masculine : "Tous les hommes sont terrifiés à l'idée que les femmes portent du rouge à lèvres", explique-t-elle à l'hebdomadaire américain, avant de nuancer ses propos : "Mais les filles ne s'habillent pas pour les hommes, nous nous habillons pour les filles. Donc je porte tout ce qui me fait paraître plus belle", a-t-elle confié. Une chose est sûre : peu importe les préférences de Jason Sudeikis, qui partage sa vie, l'actrice, elle, ne compte pas faire une croix sur le maquillage, bien au contraire : "Je ne quitte pas la maison sans un peu d'anticernes et de mascara. Je pense que pour beaucoup de femmes, il ne s'agit pas de se déguiser mais de se donner une petite confiance en plus", précise-t-elle.
Pour elle, le maquillage est important et permet de révéler la beauté des femmes : "Plus je vieillis, plus je sais ce qui fonctionne sur moi. Le maquillage ne va pas changer qui vous êtes. Il met en évidence vos meilleurs atouts", peut-on lire dans les colonnes du Times. Sur le tapis rouge, Olivia Wilde explique apprécier être maquillée par des make-up artists : "Je tiens à être audacieuse sur le tapis rouge. Et l'avantage de travailler avec autant de make-up artists brillants, c'est que je peux poser beaucoup de questions pour essayer de me maquiller à ma façon pour une fête d'anniversaire". Tout est dit.
publié le 24 juin, Justine Fiordelli