Inès de La Fressange ouvre une boutique à Paris

© Getty Images - Inès de La Fressange ouvre une boutique à Paris
Bonne nouvelle sur la planète mode ! Après avoir récemment créé une collection pour Uniqlo, Inès de La Fressange marque à nouveau l'actualité et rajoute une corde à son arc. À la tête de sa propre griffe depuis près d'un an, la Parisienne de 57 ans ouvre enfin une boutique en plein coeur de Paris, dans un quartier luxueux propice à ses créations et son univers. Un lieu original qui lui ressemble et dont elle livre quelques secrets dans les colonnes du magazine ELLE.
Située au 24 rue de Grenelle (sur la rive gauche), dans le très chic 7ème arrondissement de Paris, la boutique d'Inès de La Fressange ouvre ses portes le 28 mai prochain et propose des pièces qui vont nous donner envie de sortir la carte bleue. Plus une "quincaillerie" qu'un concept-store, on y trouve de la mode, de la lingerie mais aussi de la vaisselle et des balais ! Vous l'avez compris, il s'agit d'un concept inédit et prometteur, mêlant mode et déco : "Pour le concept de ma boutique, j'ai pensé à tous les gens de passage dans la capitale qui n'ont pas le temps de courir d'une bonne adresse à l'autre. On trouvera donc une sélection de mes produits : des balais, des assiettes, de l'huile d'olive, mais aussi des vases, des paréos dénichés en Inde, de petiits gadgets de chez Rice ou Happy Shop... En fait, j'ouvre une droguerie-quincaillerie, car j'aime l'idée de de ces bazars où tu entres pour acheter du papier d'Arménie et dont tu sors avec de jolis paniers. Je veux de la gaieté, du mélange : un joyeux fouillis mode et art de vivre", explique-t-elle, à quelques jours de l'inauguration.
Côté mode, elle précise ce que l'on pourra y trouver : "Ce seront des pièces uniques qui seront numérotées. Elles seront parfois fabriquées dans des tissus vintage, mais neufs. Ce sera comme si on trouvait un trésor aux puces, mais en neuf !". "Avec ce bazar, j'ai juste envie de faire plaisir aux femmes qui aiment la mode et la déco", conclut-elle. On a hâte de voir ça !
publié le 25 mai, Justine Fiordelli