Ines de la Fressange : "J'ai peur du Botox et des liftings"
©OLIVIER BORDE, BestImage - Inès de La Fressange lors du défilé Giambattista Valli Automne/Hiver 2020-2021 lors de la Fashion Week à Paris, le 2 mars 2020.
Lundi 20 juillet 2020, Ines de la Fressange a accordé une interview exclusive à Voici, dans laquelle elle dévoile tous ses secrets de beauté. Prenez note !
Du haut de ses 62 ans, Ines de la Fressange est connue pour avoir été l'une des top models françaises incontournables des années 1980, qui s'est vite imposée comme LE symbole de la Parisienne, mais pas seulement... Sa carrière éclectique a été également marquée par des reconversions brillamment réussies comme celles dans la littérature, le journalisme ou encore la création de vêtements, bijoux et parfums. À ce titre, la femme d'affaires a été interviewée sur ses secrets de beauté par le magazine Voici, ce lundi 20 juillet.
Des astuces beauté à la portée de toutes
Ines de la Fressange a ainsi expliqué être totalement accro au make-up. "Je me maquille tous les jours, même le dimanche. Ça me donne la pêche", a-t-elle avoué, avant de poursuivre en révélant qu'elle ne mettait jamais de vernis, et se contentait d'utiliser uniquement de la crème hydratante pour les mains. "Juste la Crème à l'abricot de Dior, que je conseille même aux hommes !", a-t-elle précisé. Dans la foulée, l'ex-mannequin a affirmé que le démaquillage était le geste le plus important de sa routine beauté. "On peut reporter des mails au lendemain, mais pas le démaquillage ! J'utilise l'eau micellaire Créaline H2O de Bioderma", a-t-elle martelé, avant de se positionner fermement sur la chirurgie esthétique : "J'ai peur du Botox et des liftings, je n'ai rien fait de tout ça, j'essaye juste de préserver ma peau."
Et la belle brune de conclure en dévoilant son astuce bien-être : "Me coucher avant minuit, dormir au moins sept heures, marcher. Je vais à tous mes rendez-vous à pied." Une hygiène de vie saine, simple et efficace, qui lui permet ainsi de préserver sa beauté intacte au fil des décennies.
publié le 21 juillet, Aurélie Ngambi
