Mode Beauté

Cosmétiques zéro déchet : 3 bonnes raisons de l'adopter

© Iryna, Adobe Stock - Les cosmétiques zéro déchet sont écologiques, sains et économiques.

Face à l'urgence écologique, les cosmétiques zéro déchet ont plus que jamais le vent en poupe. Si vous hésitez encore à les adopter dans votre routine beauté, découvrez trois atouts majeurs qui ont toutes les chances de vous en convaincre.

S'engager au quotidien pour protéger la planète

Lorsque l'on a pas le temps de s'engager dans une association, il peut sembler difficile d'apporter sa pierre à l'édifice pour une bonne cause. Mais question écologie, les petites habitudes du quotidien sont des détails qui font une grande différence, à commencer par l'utilisation de cosmétiques zéro déchet (déodorants et shampoings solides, dentifrices en cube, masques en stick..). L'objectif : dire adieu au plastique et aux emballages polluants une bonne fois pour toutes !

Entretenir son corps avec des produits de qualité

En règle générale, les formules des cosmétiques zéro déchet sont beaucoup plus saines que celles des soins traditionnels. Vegan, bio, conçues sans conservateurs ni ingrédients controversés... La grande majorité d'entre elles réunissent en effet des actifs éthiques et triés sur le volet, à l'image des soins proposés par des marques telles que Cozie et Lush. Le top pour chouchouter votre peau et vos cheveux en toute sérénité et sans danger pour votre santé, tout en prenant soin de la planète. Le compromis parfait !

Faire des économies d'argent

C'est un fait : les cosmétiques zéro déchet coûtent plus cher à l'unité que les autres produits conventionnels (gel douche, shampoing en bouteille, dentifrice en tube...). Néanmoins, comme leur durée de vie est beaucoup plus longue, ils sont davantage économiques sur le long terme, et représentent ainsi un meilleur investissement qualité/prix pour réduire un budget beauté sur l'année. En bonus, ils sont moins encombrants et plus pratiques à emporter en voyage. Des soins qui ont donc tout pour plaire !

publié le 9 décembre, Aurélie Ngambi

Liens commerciaux