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Selon Jacques Séguéla, Laeticia Hallyday est responsable de la guerre des clans

©Fameflynet, BestImage - Laeticia Hallyday à la première de "Rules Don't Apply" à Los Angeles, le 10 novembre 2016.

Mercredi 17 octobre 2018, deux jours avant la sortie de l'album posthume du Taulier, l'équipe de Touche pas à mon poste ! (C8) s'est penchée une nouvelle fois sur la guerre des clans qui oppose la veuve du chanteur à Laura Smet et David Hallyday. Invité dans l'émission, Jacques Séguéla n'a pas été tendre avec Laeticia.

"C'était la femme préférée des Français, elle est devenue la femme détestée par une faute de départ tragique. (...) Le silence est mortel dans une affaire comme ça", déclarait Jacques Séguéla sur CNews courant mars dernier, s'exprimant sur la guerre médiatique entre Laeticia Hallyday et ses beaux-enfants. Sept mois plus tard, le publicitaire a fait à nouveau part de son opinion sur ce sujet épineux alors que les chroniqueurs de Cyril Hanouna débattaient autour de la question "La parole de Laeticia est-elle encore crédible ?".

L'image de Johnny déchirée

"C'est elle qui s'est mise dans un mauvais cas au départ parce qu'elle n'a pas réagi tout de suite. Il fallait dès la mort de Johnny se retrouver en famille et discuter", a estimé Jacques Séguéla avant de poursuivre : "D'autant que Johnny n'a pas la richesse que l'on dit. Il est grevé d'impôts. Il doit 15 millions au fisc français et je crois qu'il y a 10 autres millions qui arrivent."

Ce que regrette le célèbre homme d'affaires qui lui aussi possédait un bien immobilier à Marne-la-Coquette, c'est que l'image du rockeur décédé en décembre 2017 soit égratignée par cette querelle familiale. "Ils sont en train de se déchirer et de déchirer l'image de Johnny parce que ça laisse quand même des traces même s'il est au-dessus de tout", a conclu Jacques Séguéla.

Des propos qui n'empêcheront pas Laeticia Hallyday de venir faire la promotion de l'album "Mon pays c'est l'amour" sur le plateau du JT de TF1, le jour de sa sortie, vendredi 19 octobre 2018.

publié le 18 octobre, Fabien Gallet

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