Salma Hayek raconte son combat contre le covid : "J'étais tellement fatiguée"

©Zuma Press, BestImage - Salma Hayek à la première de "The Roads Not Taken" lors de la 70ème édition du festival international du film de Berlin, le 26 février 2020.
Violemment touchée par le Covid-19, Salma Hayek a vu sa vie basculer du jour au lendemain. Un combat sur lequel elle est revenue dans les colonnes de Variety, mercredi 19 mai 2021.
Une triste année pour Salma Hayek, qui a du se remettre doucement d'un cas presque mortel du Covid-19. Si elle a gardé le silence durant des mois, elle a décidé de mettre des mots sur cette période compliquée lors d'une interview avec le magazine Variety. Quelques jours après l'annonce de la pandémie, l'actrice fait partie des premières victimes. Pour éviter de contaminer son mari François-Henri Pinault et leur fille Valentina, elle s'est isolée pendant sept semaines dans une pièce dans leur maison de Londres. Placée sous oxygène, son état s'est tout de même empiré de jour en jour : "Mon docteur m'a supplié de me faire hospitaliser. J'ai répondu : 'Non merci, je préfère mourir à la maison'."
Salma Hayek a perdu son énergie
Désormais guérie, elle a raconté ne pas avoir retrouvé l'énergie qu'elle avait autrefois. Malgré la fatigue, elle est retournée sur le plateau de tournage pour le film "Gucci" de Ridley Scott. Elle a assuré que "ce n'était pas long", avant d'ajouter : "C'était facile, c'était le job parfait pour me remettre le pied à l'étrier. J'avais recommencé à faire des appels en visioconférence à un moment, mais je ne pouvais pas trop en faire car j'étais tellement fatiguée." La comédienne n'est pas la seule célébrité à avoir contracté ce virus virulent. La chanteuse Pink est aussi passée par cette phase critique. "J'en suis arrivée au point où je pensais que c'était fini pour moi. J'ai appelé ma meilleure amie et je lui ai dit : 'J'ai besoin que tu dises à Willow combien je l'aime.' C'était vraiment critique et très terrifiant", a-t-elle déclaré à Heart Radio, le 2 mai 2021.
publié le 20 mai, Mathilde Dandeu, Jellyfish France