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Mareva Galanter dévoile la phobie d'Arthur

©DOMINIQUE JACOVIDES, BestImage - Mareva Galanter et Arthur à Roland-Garros à Paris, le 5 juin 2016.

En couple depuis 2012, Arthur et Mareva Galanter sont particulièrement discrets sur leur vie privée. Aujourd'hui, cela va faire huit ans qu'ils filent le parfait amour. Pourtant, leur idylle ne semblait pas écrite sur le papier. Très différents l'un de l'autre, leur histoire aurait pu ne jamais fonctionner.

Ancienne Miss Tahiti 1998, devenue Miss France 1999, Mareva Galanter est née et a grandi à Papeete, capitale de la Polynésie française. La reine de beauté a donc passé toute son enfance ainsi que son adolescence au bord de la mer. "J'ai grandi dans cet élément. Je pêchais à la ligne, je nourrissais toute la famille pour le week-end, et j'adorais ça. En Polynésie, la tradition veut que vous écailliez votre pêche au bord de l'eau, entouré d'autres poissons, de bébés requins à pointes noires", raconte-t-elle à nos confrères de Gala. D'années en années, elle développe un amour incontestable pour l'océan et ses merveilles. Malheureusement, cette passion n'est pas du tout au goût d'Arthur, son chéri depuis huit ans...

"Il a peur d'un poisson !"

Ce point précis aurait d'ailleurs pu rebuter Mareva Galanter. "Il n'a pas du tout le pied marin. Il a peur d'un poisson ! En fait, j'ai trouvé l'homme le moins à l'aise dans l'eau", révèle-t-elle dans le magazine Gala du 17 décembre 2020. Heureusement pour la belle de 41 ans, leur fille Manava, née en 2015, partage la même passion que sa maman : "Ma fille Manava, elle va à Tahiti depuis qu'elle est toute petite. C'est une sirène, elle passe des heures dans l'eau à nager, enfiler son masque, trouver des coquillages, pêcher. À 5 ans, elle connaît déjà des noms de poissons. Elle est née à Paris et grandira à Paris. C'est important pour moi de lui transmettre ça, qu'elle ait un peu de Tahiti en elle, c'est de là que je viens, c'est ma culture. Elle a déjà un prénom tahitien. Sa relation avec sa grand-mère est complètement dingue. Je retrouve ma mère à travers elle."

publié le 20 décembre, Perrine Némard

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