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Koh-Lanta : une ex-candidate dénonce les manipulations de la production

©Philippe Le Roux / ALP, TF1 - Le totem de l'édition 2016 de l'émission Koh-Lanta présentée par Denis Brogniart.

La 18e saison de Koh-Lanta débute ce vendredi 1er septembre 2017 sur TF1 mais la production du programme doit faire face à des accusations venant d'une ex-participante.

Laurence Pizzocchia, ancienne candidate de Koh-Lanta (2010 puis 2014 aux côtés de Laurent Maistret et Moundir), s'est confiée sur son expérience auprès du journal suisse 24 heures. "Aujourd'hui, il n'y a pas une journée sans que j'y repense (...). Ça m'a fait grandir", a-t-elle expliqué. Cette dernière aurait été prête à repartir "pour les gens et l'aventure", moins pour "les stratégies" et les mises en scène de la production (ALP).

"Je me suis sentie esclave de la production"

Pour Laurence, les producteurs ont faussé l'aventure. "Je me suis sentie esclave de la production", a-t-elle assuré avant de s'expliquer : "Dans mon cas, il y a eu des consignes de vote lors des éliminations. Suite à des malaises, on était deux à ne pas avoir participé aux épreuves du jour. Le médecin m'avait envoyée à l'infirmerie. Mais le soir, les autres candidats ont été interdits de voter contre l'autre participante (en réalité blessée, NDLR)." Laurence avait donc été éliminée.

"Le règlement de Koh-Lanta a été appliqué", a de son côté fait savoir le directeur des programmes d'ALP à TV Magazine, avant de rappeler les règles du jeu : "Un candidat qui est à l'infirmerie pendant le conseil ne peut pas voter et on ne peut pas voter contre lui. En revanche, comme c'était le cas de Laurence, un aventurier qui revient de l'infirmerie après avoir manqué l'épreuve d'immunité peut participer au conseil et être éliminé", a-t-il conclu.

publié le 31 août, Fabien Gallet

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