Sandrine Quétier : ces remarques sévères quand elle a décidé d'arrêter la télé

© Dominique Jacovides, BestImage - Sandrine Quétier au village des Internationaux de France de Tennis de Roland-Garros à Paris, le 2 juin 2022.
Voilà maintenant quelques années que Sandrine Quétier a délaissé son costume d'animatrice. Pleinement épanouie dans ses projets musicaux actuels, la Parisienne de 51 ans a accepté d'accorder une interview à Gala, publiée le mardi 19 juillet 2022. L'occasion pour elle de revenir sur les nombreuses remarques acérées qu'elle a reçues lorsqu'elle a décidé de quitter le monde de la télé.
Alors qu'elle était à l'apogée de sa carrière d'animatrice, Sandrine Quétier décide de prendre un virage à 90 degrés. À l'aube de l'année 2018, elle quitte TF1 et entame une reconversion drastique, loin du petit écran. Si cette décision est pleinement en accord avec ses aspirations de toujours, la jolie brune reçoit pourtant un nombre incalculable de critiques pleines d'incompréhension.
"Ça n'a pas été un déclic du jour au lendemain... Je suis partie de TF1 fin 2017, mais ça faisait depuis 2014, 2015 que je me demandais ce que j'allais faire après, car la musique me manquait, je voulais tenter des choses, quitte à me planter. Puis je me suis lancée", a-t-elle expliqué dans les colonnes de Gala avant de révéler avoir dû faire face à de vives remarques : "Tu es folle", "Qu'est-ce qu'il t'arrive ?", "Pourquoi ?"
"Je me devais de faire un choix radical"
Face à ce déferlement, l'ancienne acolyte de Nikos Aliagas a tenté de se défendre. "Je disais aux gens que j'arrivais à bout de la télé, de ce métier que j'adorais pourtant. (...) Mais moi, il me manquait des choses, j'avais envie de ça, et je me devais de faire un choix radical, pour faire ces choses que j'assume aujourd'hui", a-t-elle révélé.
Aujourd'hui, l'ancienne animatrice continue de faire de rares apparitions en télé mais s'épanouit avant tout dans la musique, notamment grâce au groupe baptisé Molly Pepper qu'elle a fondé en janvier 2021. "J'ai toujours fait de la musique, en l'assumant plus ou moins, car on se met ses propres barrières, et il y a l'image que les gens ont de nous. Je n'étais pas malheureuse avant, mais aujourd'hui, je suis au plus près de ce que j'ai toujours eu envie de faire", a-t-elle conclu. Une reconversion brillamment réussie !
publié le 20 juillet, Perrine Némard, Jellyfish France