Pierre Ménès viré de Canal+ : il évoque le montant de ses indemnités de départ

©Nicolas Roses, Abaca - Portrait de Pierre Ménès réalisé à Strasbourg, le 14 février 2020.
Encore vivement marqué par les accusations d'agression sexuelle qui l'ont visé en mars 2021, Pierre Ménès tente désormais de remettre le pied à l'étrier. En effet, le journaliste sportif a décidé de lancer son propre projet dont il est venu faire la promotion sur le plateau de Jordan De Luxe, mardi 12 octobre 2021. L'occasion pour lui d'évoquer son départ précipité de Canal+.
Il a beau s'être excusé à maintes reprises, Pierre Ménès n'a pas pu conserver son poste sur la quatrième chaîne. Visé par de virulentes accusations d'agression sexuelle, le spécialiste du football s'est vu être renvoyé sans ménagement. Mais qu'à cela ne tienne ! Bien décidé à conserver sa carrière, l'homme de 58 ans, qui a vécu quelques mois au plus bas, s'est lancé le défi de créer son propre média. Invité sur le plateau de Jordan De Luxe, le chroniqueur a également évoqué son salaire durant ses années de télévision. S'il affirme avoir touché entre 20 000 et 15 000 euros par mois au début de sa carrière, les choses ont drastiquement changé lorsqu'il est passé en CDI. "Après j'étais à beaucoup moins avec le prélèvement à la source, puisque j'étais en CDI. 15 000 c'était peut-être en brut à ce moment-là. Mais en net c'était beaucoup moins", a-t-il affirmé face au présentateur qui a donc déduit un salaire de 10 000 euros par mois.
"J'ai signé un accord de confidentialité"
Lancé sur le sujet, Jordan De Luxe a tenté d'en savoir plus sur les indemnités de départ de Pierre Ménès. Mais c'était sans compter sur le refus catégorique de réponse de ce dernier. "J'ai signé un accord de confidentialité donc je n'ai pas le droit de le dire mais ce n'est pas ça et ce n'est pas non plus les 500 000 euros qui ont été annoncés", a-t-il déclaré de manière évasive avant d'ajouter face aux insistances du présentateur : "Quand je te dis que je n'ai pas le droit de le dire c'est que je n'ai pas le droit de le dire !"
publié le 13 octobre, Perrine Némard, Jellyfish France